L’essentiel étant de manger en fonction de ses besoins et de son appétit. Inutile donc de vous forcer à «petit déjeuner » si ça ne passe pas. Vous pouvez ainsi pratiquer un jeune intermittent jusque midi ou 13h et faire du déjeuner votre 1er repas de la journée. Un bon moyen pour mettre au repos votre système digestif qui peut ainsi se régénérer.
Si la faim se manifeste plutôt, vers 11h, vous pouvez vous restaurer simplement avec une infusion, un fruit de saison et quelques oléagineux facile à emporter sur votre lieu de travail (amande, noisette, cajou, noix, noix du brésil…) ou opter pour un jus de légumes. A l’inverse, vous êtes plutôt du genre à avoir faim le matin ? Alors écoutez votre appétit en veillant à ne pas tomber dans le piège du petit déjeuner à la française essentiellement sucré comme le fameux pain – beurre – confiture avec jus de fruits (ou pire encore céréales, biscuits du petit déjeuner, brioche…). Ce type de petit déjeuner provoque des pics de glycémie à l’origine du coup de barre de 11h caractéristique de la crise d’hypoglycémie qui appelle à nouveau une envie de sucre.
Préférez des protéines de bonne qualité : œuf coque, fromage frais de chèvre ou de brebis (si possible au lait cru) accompagné d’un pain bio au levain ou au petit épeautre et quelques graines oléagineuses. En version plus végétale, vous pouvez optez pour un pudding de graines de chia au lait de coco ou d’amande avec des fruits rouges. Et pourquoi pas, un jus de légumes, du pain toujours bio au levain avec de l’avocat ou de l’houmous… Osez la variété et même l’insolite, si la tapenade, les anchois ou une soupe de légumes vous tentent, pourquoi ne pas essayer !